• Un nom de fête. Une belle fête, pleine d'amis, et une belle bouffe sympa, du calibre de celle qu'on n'oublie pas, de bons souvenirs. Un raoût. C'est pas ça ?

    Raoult : un nom de con ; enfin : un con. Majuscule, le con, et aux ordres. Raoult y dit : Il faut que les bamboulas ils arrêtent de dire du mal de la France. Si, relisez sa prose, c'est _exactement_ ce qu'il dit. Surtout quand il compare l'autre méchante, là, l'écrivaine noire qui a du succès en Français (ça doit le faire bien chier, ça, le Raoult ! lui qu'est incapab' d'aligner deux accords, et de conjuguer la France au futur) et même qu'elle gagne un prix de littérature, façon Bernard Pivot, en français ma langue (le Goncourt, t'escuzera !), donc il la compare aux footeux intellectuels à lunettes. Bah oui, il la compare aux gens de son espèce, la bamboula : les noirs. C'est comm'ça sous son scalp à Raoult, ras !

    On n'a pas dépassé le stade anal, chez Éric Raoult. C'est comme de la merde, tout ce qu'il dit. Si, tout pareil ça pue : Raoult c'est tout caca.

    Allez Éric, pitié : ta gueule !


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  • Dernier délire de not' grand vizir : il a pété le mur (de Berlin, patate !) à mains nue dès le 9 novembre '89 : ce type est nul, zéro, vide absolu. Et bête.

    Ah, on ne remerciera jamais assez les 54% de connards qui nous ont permis de découvrir qu'un vide pareil au niveaux des bulbes et machins cérébraux, qui habituellement protègent la pensée, la conscience, la réflexion, puisse se découvrir dans un édile.

    Là, cash, on a un président sorti tout droit d'un CE1. Et encore, a-t-il le niveau ?

    Et <<ça>> nous représente ?!. Pauvre de nous, je vais aller pleurer dans ma chambre.


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  • _LA_ question du moment : Pour vous, qu'est-ce qu'être Français. On ne perdra pas de temps sur le style et la tête à toto, ratatouilleux et pompeux, et on ira directement débattre sur le fond, mes chéris.

    Preums, qui pose la question, hmmmm ? Éric Besson, traitre, comme son chef le petitou en son temps. Besson qui vient d'envoyer à la mort 3 (trois, pour ceux que les chiffres arabes énerveraient)  afghans, pendant qu'il  spectatait un match de foot , l'enflure. Oui, c'est peu 3, sauf pour ces 3 là. Et pis c'est une connerie majuscule, ces types ne demandaient qu'à s'intégrer. Ce connot de Besson vient d'armer des bras afghans, qui légitimement (qui a commencé, hein ?) viendront nous occire, putain.

    Deuz, à qui s'adresse la question ? Aux 77% de con-citoyens qui trouvent cool qu'on oblige les gamins à chanter la marseillaise. Tu la connais, toi, la Marseillaise, hé ducon ? Non, pas le refrain, mais les couplets ? Alors pourquoi tu viens faire chier les minots, c'est à croire que t'aimes ça, minable pervers.

    Troiz, où qu'il est le débat ? Sur le grand 'ternet. Mouiiii, y'en aura aussi dans les préfectures et sous-préfectures, mais le modernisme tu sais tu luttes pas contre ; je parie que les résultats seront directement issus de 'ternet, mort aux débateurs de terrain.

    On y est, on a tout pour que ce soit une réussite : un félon, des cons et un bordel.

    Alors que la réponse est simple : être français, c'est être comme Éric Besson. Ou, à la rigueur, comme Paul Aussaresses.


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