• Aïe, aïe, aïe. Que de douceur, de swing, de présence... Janis, je t'aime, Cheryl aussi, et Alan itou ; Pour ne rien dire de Tim Hauser, the founder, comme y disent. Que de talent(s), d'envie, d'énergie. La classe, l'anti-rap, l'anti 50ç, le boulot de chien pour ne rien laisser apparaitre sinon le résultat : perfect ! En ces temps de transpiration pénible et d'effort souligné, de l'air pur ça se remarque et ça s'apprécie ; Ça se respire à pleins poumons.

    Continuez amis, longtemps. Wap dooo wap.

    And screw every else, comme disait Freddy.


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  • Parti, cher Albert. Discrètement. Et les cons restent, et se multiplient.

    Ton ami Cavanna a dit deux mots de toi, cher ami. Voilà les 2 mots qui te définissent : cher ami. Tu as su t'approcher de chacun, et tisser une relation si forte et honnête que chacun a souhaité t'avoir comme ami. Personne ne t'a, ne t'a eu ; tu es à tout le monde, tu es au monde.

    Tu manques à moi aussi, à moi surtout, cher Albert.


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  • Salut connard.

    Genre (comme disent les d'jeuns) : t'as le choix Kévin !

    Bah non mon Kévin kiffé : le temps passe pour tous. Et grandir, c'est plutôt une obligation, et un fait. Je sais que ça te fait bien 'iech, ma poule (tu permets que je te cause gentil ?), mais quand t'as vécu 20 ans,  ben t'as 20 ans, chéri. quand t'as vécu 40 ans, t'as 40 ans. Remarque : la liste des zozos qui tentent de faire croire que le temps s'écoule lentement pour eux tellement qu'y sont cooooooools, s'allonge... Comme leur âge réel, pauv' chéris.

    Bon, bref, tout le monde _doit_ au collectif ce qu'il est, ce qu'il connait, ce qu'il peut transmettre. En un mot : ce qu'il a reçu.  Le reste n'est que littérature de merde, genre marketing alakon.

    Mieux dit : tout ce qui n'est pas donné est perdu.

     


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  • Yesssssss, comme on dit chez elle : Dead, Thatcher ! La bonne nouvelle du jour. Les fâcheux diront que c'est mal , que c'est vil, que c'est indigne. Ils ont raison. De même que c'est mal, vil et indigne de _se payer_ des travailleurs, des syndicalistes, des communistes... surtout quand on est en poste au 10 Downing Street, intouchable quoi qu'on en dise...

    Les anglais ont parait-il inventé le fair-play pour leurs adversaires. Moi j'aime bien les anglais, mais je conchie Maggie. Alors là où t'es, ma vieille, écoute bien la chanson de Renaud : elle décrit bien pourquoi ce soir la populasse est en fête. On a les vengeances qu'on peut.

    Toi, vilaine, tu auras coûté la peau du cul au collectif, les 10 dernières années de ta vie... Ces années attendrissantes de perte de mémoire, de contrôle, ces tristes années d'Alzheimer. Ces années où le collectif pallie la détresse et la déchéance. Ces 10 ans, je te les offre. Parce que c'est ça la collectivité, la solidarité et l'humanité.

    Mais quand même, pour les mineurs laminés, pour Bobby Sands, pour les Malouines, pur tes saloperies réactionnaires : va chier, connasse !

    Triste victoire, mais Champagne, bordel !


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  • Voix éteinte.

    Restent les espoirs invincibles, et sa douce voix. Reste la force indépassable. Je te donne, cher Stéphane,  toute ma force, et celle de Glenn Gould, et celle de Freddy Mercury, et celle de tous mes chers disparus énergétiques : Marthe et Jeanette, Clément et Paul, Roger et Colette, Mick, et tous mes aimés.

    Que ça continue, bordel !


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