• Séquestre.

    Il semble que les patrons séquestré, ça devient tendance. De sales ouvriers prennent en otage leur brave patron, qui n'est vraiment pour rien dans ce merdier ambiant, en exigeant d'obtenir satisfaction, et puis quoi encore ? Généralement, l'entrepreneur est relaché dans la journée suivante par ces fumiers de pauvres qui retournent à leur perspective : le chômage à venir, dont ils sont bien les responsables pricipaux, feignasses incapables de trouver du turbin, ou rechignant à gagner 30% de moins à 200km de la maison. D'ailleurs, un pauvre qui a une maison, c'est louche.

    Bon, je plaisante, je paisante, mais la situation est préoccupante pour le medef : on commence à parler de réfléchir à s'occuper de limiter les salaires et "parachutes" (comme s'il y avait chute !) des chefs.

    Mais tout ça, c'est poudre aux yeux et enflage, hein. Non : les patrons ils vont comprendre d'un coup, le jour ou le premier va y laisser sa peau, face à des types désespérés et exaspérés par tant de mépris et de suffisance ; ce jour là, à partir de ce jour là, ça va raser les murs. C'est pas pour faire lourd, mais ce jour arrive. Il arrive d'autant plus vite que ces cons ne comprennent pas, et continuent à se verser en toute ingénuité des primes égales à 200 ans de salaire médian.


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