• Morte, la bête ! en français. C'est fou le nombre de méchancetés qui se disent au sujet du sujet N°1 de l'actu du moment : DSK, queutard, obsédé, grossier, ordurier, salaud. A-t-il fait tout ce qu'on dit avec la ghanéenne (?) aux beau cul et beaux seins (si si : ça s'est écrit, donc lu). Qui sait à part elle et lui... Les plumitifs balancent ce qu'ils peuvent encore contre le sphinx, et dénoncent ce qu'ils auraient dû parait-il clamer haut et fort depuis tant de temps : DSK est un prédateur de gonzesses. La curée des journaleux, hommes et femmes, pour les mêmes tristes raisons de carrière.

    Je ne sais pas ce que ce type réserve aux souris (Cavanna a raison, c'est bien plus joli que meuf) qu'il croise, mais je crois que je connais ce genre de zozos, sur d'autres plans : c'est le genre gros con pleins de droits et de certitudes, la race des vainqueurs, ceux qui osent et qui obtiennent , les self made men en New-Yorkais. Ce Strauss Kahn n'est que vague étron, probablement intelligent et astucieux, qui se fait passer pour socialiste parce que le côté droit de l'avenue de la réussite est encombré. Il est de gauche comme peuvent l'être des avocats d'affaires, des architectes, des banquiers, des pharmaciens, des comptables et des notaires. Un moment sincère, le reste réaliste. Cette nouvelle gauche qui conchie les faibles, les étrangers, les pauvres. Ils ont, par leur statut, du haut de leur statue,  le droit de disposer des petits, comme de les coincer dans les couloirs, leur mettre la main au cul, les forcer, les opprimer, les pourrir. Ces pauvres parvenus du pouvoir, sentencieux et pédants, qui ne méritent pas une once d'intérêt citoyen.

    DSK sortira de cette affaire, le fric et les appuis lui permettront d'en sortir. Mais ni sa femme ni les vrais républicains n'oublieront qui il est : DSK est mort.

    Hep ! Si tu me lis, DSK : j'ai 12 points sur mon permis, je ne suis pas au trou, je vais aller rejoindre ma femme et dormir. Toi, tu ne connaitras plus jamais cette simplicité. Et tu sais quoi, enfin ? je te méprise et je t'emmerde.


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  • Encore merci aux 54 (53?) % de connards qui nous ont permis d'avoir l'"équipe" de bras cassés dirigeante actuelle. Entre Fion, cul-bénit qui conchie ouvertement l'hérétique et l'infidèle, et qui va bader et se prosterner devant des restes d'un vague polonais peut-être courageux, mais quoi ! merde ! il a causé combien de décés, ce con là, avec sa capote à l'index ? Wauquiez qui dénonce l'excès d'assistance (genre : un paralysé des membres inférieurs à qui on filerait un fauteuil dahu, une petite roue à droite -forcément- un grosse roue à gauche sinon il deviendrait assisté ce feignant. Aussi : un déficient respiratoire à qui on filerait de l'oxygène, mais 80% des besoins, sinon il deviendrait assité ce feignant. Aussi : un chômeur à qui on filerait de quoi vivre sans mendier, il deviendrait assisté ce feignant) comme mère de tous les vices. Et Guéant. Ah ! Guéant. Bientôt une spéciale Guéant ici même.

    Quant aux milliardaires, ils vont bien et restent en France. Merci de vos efforts.

    Comment ? Ah oui : liberté, égalité, fraternité.


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  • Ça fait plus de 30 ans que les écologistes, devenus les verts, d'un bout à l'autre de la planète, mouillent la chemise et dépensent sans compter leur énergie pour tenter d'alerter le pauv'monde sur ce qui se passerait si...

    Si une centrale nucléaire pétait, par exemple. Et ça fait plus de 30 ans qu'on les traite de branleurs, d'alarmistes, de Cassandre à la con. 30 ans qu'on leur demande de fermer leur bouche, vu qu'ils n'y connaissent rien en physique, en chimie, en économie, en gestion du monde, en rien !

    Ça fait plus 30 ans que les écologistes ont raison : l'insensé, l'impossible, l'irrationnel viennent de se produire. Par définition, c'était imprévisible. Et c'est le seul argument des pisse-froid qui nous conduisent à l'apocalypse : c'était imprévisible ! Les Fion, Sarkome, Lauvergeon, Kosciusko, Besson l'ordure, Birreaux (député qui s'y connait), Roussely, Proglio, Chirac, Juppé, pour les plus res-pon-sa-bles comme y disent eux-mêmes, tous ces dangereux illuminés qui mettent la vie du citoyen en danger de mort immédiate n'ont que cet argument : c'était im-pré-vi-si-ble.

    Ben ta gueule, connard irresponsable ! Et s'il te reste un pouillème de conscience, tu démissionnes. T'inquiète pas, on dira pas que tu quittes lâchement le navire : *ta* lâcheté ça fait 30 ans qu'elle *nous* mène au gouffre.


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  • MAM

    Mam ? vlammm ! Le nabot a sacrifié l'hystérique.

    PAM, lui, reste au gouv'. Ambiance à la maison... Qu'ils s'entretuent, ces deux cons, après tout.


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  •  ... n'est pas un mode de pensée"

    Qui qu'a dit ça ? Fion, 1er ministre.

    Alors mon grand (c'est pour faire chier son chef nabot), écoute : sors tes doigts, ferme ta petite gueule détestable, et agis. Oh, pas beaucoup : le dixième du quart de la moitié de ce qu'a accompli (note le verbe !) le monsieur Hessel que tu bêches.

    Quand tu en seras là, tu pourras l'ouvrir, et tenter de faire oublier à ton public de connards que tu as toujours eu le cul au chaud, à donner des conseils qui ne te coûtaient rien.

    En attendant, tu sais quoi ? ta gueule !


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