Ronnie est parti. C'est la voix de la grenouille guitariste -dessin animé Love is all, de Roger Glover du Deep Purple !- qui nous annonce le bal du papillon : Butterfly Ball. Le bal se conclut avec Homeward, formidable vocal de Ronnie : Douceur et énergie.

Now the Ball is over
It's time to get back home
I need a star to guide me
I'm feeling so alone
Feeling so alone

Morning mustn't find me
Sleeping in the sun
Now the dawn is breaking
A new day just begun
New day just begun

Glow worm lighting
Darkness fighting
Guiding one and all

Homeward going
Moving, flowing
Homeward from the Ball

Wings are sadly folding
Here comes another day
Oh I'd like to stay for ever
And dance the night away
Oh dance the night away

Glow worm lighting
Darkness fighting
Guiding one and all

Oh
Homeward going - take me home
Moving, flowing
Homeward from the Ball

Homeward going
Moving, flowing
Homeward from the Ball

Homeward going
Moving, flowing
Homeward from the Ball

Homeward going
Moving, flowing
Homeward from the Ball

Les zandicapés, gross malheur. Il faut faire tout keskon peut pour les aider. Sinon vilain méchant pabo. Alors ça y va de télé en radio, de distingué manequin anorexique en ex-sinitre de la république, chacun la croix de l'autre, c'est plus léger à défaut de moins lourd.

Le problème, c'est les mots. Les gens à qui il manque un bras, ou qui sont dans un fauteuil (roulant, hé banane), ou ceux qui ont la tête qui ne tient pas toute seule, etc. C'est pas handicapés qu'ils sont, c'est infirme, ou invalides. Ils deviennent handicapés quand on ne construit pas systématiquement des plans inclinés devant les bâtiments, quand on ne réfléchit pas à l'ergonomie des bagnoles ou des ouvre-boites ou des ordinateurs, quand les poignées sont placées en un seul endroit, défini probablement comme <<moyen>> ou <<médian>>...

Le handicap, c'est pas une maladie. Le handicap, c'est l'aveu que la société se contrefout de ceux qui sont invalides, ou infirmes.