• Je connais le monsieur qui a crée et fabriqué mon stylo. C'est une impression forte et délicate : il me l'a vendu mais, surtout, je l'ai acheté.

    Cet artisan n'a pas besoin de garantir son travail, lui et moi savons qu'il a donné le meilleur de ce qu'il savait faire. Je pense que cet élégant cylindre de buis et d'acier va m'accompagner longtemps.

    Cool. Tout ce que Macron©® ne sait pas !


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  • Aïe, aïe, aïe. Que de douceur, de swing, de présence... Janis, je t'aime, Cheryl aussi, et Alan itou ; Pour ne rien dire de Tim Hauser, the founder, comme y disent. Que de talent(s), d'envie, d'énergie. La classe, l'anti-rap, l'anti 50ç, le boulot de chien pour ne rien laisser apparaitre sinon le résultat : perfect ! En ces temps de transpiration pénible et d'effort souligné, de l'air pur ça se remarque et ça s'apprécie ; Ça se respire à pleins poumons.

    Continuez amis, longtemps. Wap dooo wap.

    And screw every else, comme disait Freddy.


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  • Parti, cher Albert. Discrètement. Et les cons restent, et se multiplient.

    Ton ami Cavanna a dit deux mots de toi, cher ami. Voilà les 2 mots qui te définissent : cher ami. Tu as su t'approcher de chacun, et tisser une relation si forte et honnête que chacun a souhaité t'avoir comme ami. Personne ne t'a, ne t'a eu ; tu es à tout le monde, tu es au monde.

    Tu manques à moi aussi, à moi surtout, cher Albert.


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  • Voix éteinte.

    Restent les espoirs invincibles, et sa douce voix. Reste la force indépassable. Je te donne, cher Stéphane,  toute ma force, et celle de Glenn Gould, et celle de Freddy Mercury, et celle de tous mes chers disparus énergétiques : Marthe et Jeanette, Clément et Paul, Roger et Colette, Mick, et tous mes aimés.

    Que ça continue, bordel !


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  • RMS

    On aurait pu classer cette brève dans Éducation, ou dans GNU/Linux. Mais c'est la voix qui domine, et à travers elle le message.

    RMS pour Richard Matthew Stallman, l'inventeur du logiciel libre. Ce type a su mettre noir sur blanc, et en termes de libertés, ce que devrait être tout échange de données, de valeurs, de contenus. Placer un contenu quelconque sous licence libre, c'est interdire aux connards de chez Microsoft, par exemple, de faire du fric avec, au détriment des libertés individuelles.

    On ne perdra pas de temps à rappeler que, pendant ce temps, Bill Gates a rang de chef d'état, et de ce fait se vautre dans toutes les cours de la planète, au contact d'autres milliardaires, on en dévenir, ni qu'il est reçu comme tel dans les démocraties vivant de l'impôt du citoyen...

    On ne perdra pas de temps à rappeler que, pendant ce temps, l'Éducation Nationale signe des partenariats dorés pour ses espaces numériques de travail ; le doré, c'est pour les boîtes-à-la-con qui n'ont jamais vu fonctionner un établissement scolaire, ou un groupe d'élèves, mais qui pissent du code informatique confidentiel, caché, propriétaire, pour que l'institution leur confie des données personnelles. Et gare aux profs réfractaires au changement !

    On ne perdra pas de temps avec ces nouveaux adeptes convertis au logiciel libre mais quand même... Liberté, oui, mais si c'est pas commode alors non. Les néo Ubuntu et consorts qui claironnent, et donnent des leçons de réalisme, comme quoi faut évoluer, sinon on est un intégriste du libre. De fait, un logiciel libre qui fonctionne sur Windows, ça n'étonne même pas !

    RMS, depuis 1983, prône la liberté. Vas-y Richard, continue. Moi, je te bade, tu m'inspires et je te suis : la liberté, ça ne se fractionne pas.

    And screw everybody else.


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