De kewa ? Keskispasty ? La viande halal elle serait pas vraiment halal ? Et les aut' produits halal non plus ? Il y aurait, comment dire, de la triche, du vol, du mensonge, de la tromperie, et du marketing aussi. Ah ben merde, si on ne peut plus se fier aux religions, où kon va ?

Remarque, halal ça veut peut être dire autorisé, ou à peu près, mais c'est juste hors la loi en France. Interdit si tu préfères. Verbotten. En France, les animaux doivent être étourdis avant d'être tués, c'est peut-être même une victoire de BB, celle qui n'aime pas les arabes ! Ah la salope, ah la maudite. Sauf que BB, qui n'aime plus grand monde, elle respecte les animaux, et elle ne comprend pas pourquoi ils doivent souffrir avant d'être tués. Et là, Brigitte, moi je l'embrasserais. Parce qu'elle a raison, tout simplement. Ça s'appelle civilisation, ni plus ni moins. Ne vas pas chercher le truc anti ceci anti cela, ne vas pas crier au racisme, ne vas pas menacer de fatwa, ou autre lâcheté. La civilisation, c'est *précisément* se préoccuper de ceux qui sont faibles, dépendants, innocents, et les animaux sont tout ça à la fois.

Un zozo a un jour décidé que les animaux devront être conscients, tournés dans la bonne direction, et qu'un croyant donnera le coup fatal. Tout ça pour finir en mechoui, ça déconne, non ? Les dogmes religieux sont des pièges terribles, des freins à l'éducation. Les religions sclérosent la pensée, tuent l'avenir. Salopes.

J'ai souvenir d'un reportage TV il y a longtemps. On y voyait un homme tout en blanc, immaculé. On y voyait une vache. On y voyait un dispositif mécanique. Le tout dans une grande salle toute propre, toute blanche, un peu high key. Le dispositif enserrait les flancs de la vache, la soulevait, et la retournait d'un coup, hop, les quatre pattes en l'air. L'homme en blanc s'approchait, il avait un putain de surin en main, quasiment un sabre, un cimeterre. Et puis posément, il tranchait la gorge de l'animal, qui se débattait. Je ne me souviens plus s'il y avait du son. L'image suffisait. Le sang giclait au rythme du coeur de l'animal, faiblissait, s'arrêtait. C'était fini. Mon pouls à moi était au plus haut devant tant d'abjection, de technologie dégueulasse, de gravité morbide. Je me suis juré que si je croisais un jour un sous-homme comme celui-ci, je lui tranformerais sa grande gueule en cul, bien suffisant pour ce qu'il a à dire et à transmettre.

Et puis, l'âge venant, je me suis calmé. Un peu : je conchie les religions, les religieux, les dogmes, les doxa, les liturgies ; j'emmerde les croyants, les illuminés des neurones, les anorexiques du coeur, les incapacités du raisonnement. Barrez vous dans vos paradis de merde, avec vos vierges et vos cierges, et ne venez plus pourrir ma planète avec vos 4 sous de faux espoir.

Enfin : crevez en conscience, crevez de trouille, chiez vous dessus. Mais tournés dans la bonne direction.