• Et Lefebvre, qui voulait représenter les français établis hors de France, rien que ça. Branlée, connard inculte ! Retourne à ton zéro, avec ton grossier héros raze motte.

    Ah c'que c'est bath, cette élection !


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  • Union pour la minorité présidentielle, qu'ils devront s'appeller maintenant les cons déconfits. Et la france bleue commence à mariner : une gamine de 22 ans, dénomée Maréchal -ça peut pas s'inventer !-, et un sale con (qui a parait-il suggéré à la grand mère de la petite Maréchal de se foutre à loilpé dans Playboy après son divorce d'avec le pépé de lapetite, faut suivre un peu : Jean-Marie), ah le beau tableau à droite toute.

    Bichons également sur la gueule à la méchante et vilaine Martine Le Pen, que c'est la faute aux cocos si elle a perdu. Ils ne savent pas compter (elle a même clairement dit qu'elle soupçonnait le bourrage des urnes dans les bureaux de votes communistes), alors elle va faire recompter : on va donc lui voir le cul 2 fois. Après recomptage, t'inquiètes, elle va pas s'excuser ; faudrait qu'elle ait de l'éducation. Quand t'as vu la famille 'yau de poële...

    Continuons avec Guéant, Morano et MAM. Y'a quand même de sacrés bons moments, même si ça risque de ne pas durer...


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  • Depuis la victoire de Hollande, l'UMP est devenue l'opposition. Pendant la campagne, Qu'est-ce que *ça* pouvait gueuler contre la télé et les radios qui faisaient rien qu'à inviter des socialistes, et qui faussaient la perception des électeurs, et qui donc allaient fausser le résultat de la présidentielle... Je ne sais donc pas qui, mais on ne l'entend plus. A contrario, je ne peux pas ouvrir le poste sans voir/entendre un(e) cheffaillon(ne) de l'UMP qui donne des leçons et qui explique en quoi c'est de la merde en barre ce que va faire l'actuelle majorité.

    Sauf que... C'est pas l'opposition que je vois ! Copé qui fait la roue, Moreno qui fait l'outrée, Juppé qui fait le chef, Fion qui fait le con dans son parti, et Dati aussi. Et leur cheffaillon défait, planqué outre mer avec maman et l'alfa, invités chez le calife à se refaire la cerise, les chéris. C'est pas l'opposition, c'est :

    [la majorité qui a pris une putain de méga branlée]

    On va peut-être en baver, mais en attendant, carpe diem : je savoure, ah ça comme je savoure t'as pas idée !


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  • Là, je regarde un p'tit bout de papier (ça doit être de l'A5) sur lequel est écrit Nicolas SARKOZY.

    C'est une impression agréable : je n'ai pas mis ce bulletin dans l'enveloppe, il a donc été battu.


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  • Une journée comme j'aime. Une clairette de Die au frais, du boulot plutôt sympa à faire, un devoir civique à accomplir, un repas en famille, encore du boulot. Et puis vers 19H, on arrête tout, on débouche la clairette, et on se met devant la télé pour... Pour... Pour...

    Assister en direct à la déculotée du petit.

    Cinq ans qu'on attend, tu parles qu'on va bader. Cinq ans qu'on s'énerve, de ce côte-ci de la démocratie, à le voir faire connerie sur connerie, saloperie sur saloperie, à bouffer les conquêtes sociales comme on dit. Cinq ans à détricotter le pays, à monter les vainqueurs de droite contre les feignants assistés de gauche. Cinq ans finis en apothéose, genre grand reich, à drrrrroite toute, avec les gars de la Marine, connards vraiment décomplexés.

    On va pas bouder not'plaisir, et on va se gaver de Sarkome, de Fion, de Copé, de Rosso-Debord, d'Estrosi, etc. Et de Dati ! On va se rassasier des gueules déconfites de tous ces débiles donneurs de leçons qui nous merdent depuis si longtemps. On va les chouffer, et on va se régaler.


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