• en bon (?) français, ça se dit l'athétisme à la télévision. Mais Patrick Montel ne parle pas le bon (?) français ; Patrick Montel parle le jeune, hyper sympa, trop deg' quand ça passe pas trop bien quand ça passe. Patrick Montel connait bien les jeunes, est jeune lui-même (comme Gérard Holtz), et de facto est le porte parole des jeunes qui sautent, courent et lancent, surtout ceux fringués comme des cons, tatoués comme des cons et manifestement qui réfléchissent comme des cons ou plutôt comme leurs idoles, les ricains gangsta mon frère, sacré bande de connards médicalement assistés.

    Parfois passent des jeunes gens bien, même des noirs ! au micro de Nelson par exemple, qui savent aligner trois mots, expliquer pourquoi ils ont réussi, ou non. Parfois l'athlétisme à la télé, c'est divertissant, c'est édifiant et ça donne envie de sauter, de courir et de lancer.

    Ces moments sont rares, c'est quand Patrick Montel se tait.


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  • Si on vivait 400 ans, sûr que ces cons nous feraient travailler jusqu'à 390... Passe que c'est du bon sens, même que le PS aussi il est d'accord, pauvre Jaurès.

    Ces fumiers de droite réussissent à transformer espérance de vie en espérance de travail, comme si la vie n'était que cela. Surtout que le leur, de boulot, il est pas cassant, contrairement à ce qu'ils disent. D'ailleurs les fumiers de droite, patrons, banquiers, curés et politiques, si on ne les avait pas raccourcis tantôt, ils seraient encore à claironner qu'on ne peut pas faire autrement que faire travailler les enfants dès 5 ans, because concurrence, sacrifice et toutes ces conneries de droite.

    Je pense qu'il est temps de leur faire, à nouveau, raser les murs...


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  • Prononcer ouin-ouin, c'est plus drôle. Se dit d'un accord contracté entre 2 parties dont l'une essaie d'enfler l'autre bien bien profond. Pour les francophones réfractaires à la langue dominante, on dira gagnant-gagnant.

    Les accords ouin-ouin ont été inventés par les patrons, pour faire croire aux employés et aux syndicalistes réformateurs, que l'argent des patrons n'était pas pris exclusivement dans les poches des travailleurs. Alors que si, en réfléchissant bien.

    Pour faire passer ce vocabulaire de vainqueur dans le langage courant, les patrons ont délégué à des marchands de soupe, spécialistes de management, de coaching et autres outils du changement. On voit ainsi débouler dans des entreprises des pouffiasses onéreuses, et des trouducs odieux, ou le contraire. Ils viennent expliquer que ça ne fera pas mal, et que ce sera mieux après.

    Au mieux, ces branleurs ne servent à rien, et se sont trouvé (crée !) une niche leur permettant de changer le katkat tous les 2 ans. Au pire, et en réalité, ils font un mal de chien à celles et ceux qu'ils forment au changement, à la gestion du stress, à l'épanouissement personnel. De séminaire en séminaire, les cadavres de travailleurs jonchent le chemin parcouru par l'Entreprise : ceux qui n'ont pas su accompagner, anticiper, résister.

    C'est curieux, je viens de retrouver la trace d'un de ces escrocs, qui avait produit son lot d'arrêt maladie (c'est dire s'il est con !) dans une grande entreprise (encore publique ?) de téléphonie qui voulait changer à toute allure la mentalité de son personnel fonctionnaire. Les méthodes (et la pression hiérarchique) étaient d'une telle violence qu'aucun agent, technicien, cadre ou cadre supérieur, ne voulait témoigner à visage découvert auprès des syndicats.

    Il est installé dans le sud, et continue à sévir à 200 euros de l'heure : il coache. Raymond, lorsque je te croiserai, je te coacherai à mon tour.


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  • Un nom de fête. Une belle fête, pleine d'amis, et une belle bouffe sympa, du calibre de celle qu'on n'oublie pas, de bons souvenirs. Un raoût. C'est pas ça ?

    Raoult : un nom de con ; enfin : un con. Majuscule, le con, et aux ordres. Raoult y dit : Il faut que les bamboulas ils arrêtent de dire du mal de la France. Si, relisez sa prose, c'est _exactement_ ce qu'il dit. Surtout quand il compare l'autre méchante, là, l'écrivaine noire qui a du succès en Français (ça doit le faire bien chier, ça, le Raoult ! lui qu'est incapab' d'aligner deux accords, et de conjuguer la France au futur) et même qu'elle gagne un prix de littérature, façon Bernard Pivot, en français ma langue (le Goncourt, t'escuzera !), donc il la compare aux footeux intellectuels à lunettes. Bah oui, il la compare aux gens de son espèce, la bamboula : les noirs. C'est comm'ça sous son scalp à Raoult, ras !

    On n'a pas dépassé le stade anal, chez Éric Raoult. C'est comme de la merde, tout ce qu'il dit. Si, tout pareil ça pue : Raoult c'est tout caca.

    Allez Éric, pitié : ta gueule !


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  • Dernier délire de not' grand vizir : il a pété le mur (de Berlin, patate !) à mains nue dès le 9 novembre '89 : ce type est nul, zéro, vide absolu. Et bête.

    Ah, on ne remerciera jamais assez les 54% de connards qui nous ont permis de découvrir qu'un vide pareil au niveaux des bulbes et machins cérébraux, qui habituellement protègent la pensée, la conscience, la réflexion, puisse se découvrir dans un édile.

    Là, cash, on a un président sorti tout droit d'un CE1. Et encore, a-t-il le niveau ?

    Et <<ça>> nous représente ?!. Pauvre de nous, je vais aller pleurer dans ma chambre.


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